pouet
Charlzes T. Diggles n'est pas content
et il s'évertue à hue et à dia
(Le journal de la triple souche)
plouf
En bas sans péage   Esta bien la page 18

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Résumons

ongrhTout va très vite… Les états décident de renoncer à leur droit régalien de battre la monnaie(1). Ils abandonnent ce privilège aux banques privées qui la leur prêtent désormais – contre intérêts ! Des intérêts faramineux à l'origine des dettes publiques actuelles. Dettes monumentales destinées à asservir mécaniquement les peuples qui se trouvent contraints de payer taxes et impôts toujours plus nombreux, toujours plus lourds, toujours plus injustes. Les services publics disparaissent les uns après les autres. Les salaires s'effondrent. Le chômage et la misère se propagent. Les riches sont de plus en plus riches, les pauvres de plus en plus pauvres et les classes moyennes sont patiemment balayées de la surface du globe.
Depuis le début du 20è siècle, avec la complicité des politiques et des médias, les banques ont volontairement provoqué les crises financières successives que nous connaissons(2) afin de s'enrichir chaque fois d'avantage. Tout est minutieusement orchestré pour aboutir au Novus Ordo Seclorum(3) et à une nouvelle monnaie unique qui leur offrira le contrôle total sur le monde entier. Et les environs.
Aujourd'hui le système est en faillite. Les banques mettent leurs derniers pions en place. Le compte à rebours a commencé. Les gouvernements ont beau s'employer à faire croire à leurs électeurs qu'ils n'ont rien à craindre, c'est eux qui paieront la note au bout du compte.
En réalité, la crise actuelle, n'est que la partie émergée de l'iceberg. D'après un trader proche de Liesi, la vraie crise n'a pas commencé, celle des Subprime était juste un apéritif.
Braves gens, videz vos verres, le repas est servi. Quand vous aurez remboursé les entrées, nous passerons au plat principal…
Bon appétit !

1. 1973 en France.

2. Panique de 1907, hyperinflation de Weimar en 1923, krach de 1929, choc pétrolier de 1973… jusqu'à nos jours, 2007-2011. (voir Wikipédia, y'en a plein d'autres)

3. Le Nouvel Ordre des Siècles (Nouvel Ordre Mondial). Voir sur un dollar américain.

 
Armes de destructions massives
FMI, UE, BCE, Banque Mondiale, Réserve Fédérale, Goldman Sachs, JP Morgan, Fitch, Moody's, OMC, OCDE, ONG OMS, Codex Alimentarius, ONU, OTAN… (mes excuses pour ceux que j'aurais oublié)
 
De la servitude moderne - documentaire de Jean-François Brient - (52:21)

proposé par LesFouinesAssociees

• "Un film documentaire de Jean-François Brient sur le système totalitaire marchand dans lequel nous vivons. Il démonte les rouages des démocraties libérales qui forment le modèle dominant du monde occidental et montre comment celles-ci n'ont rien à envier aux systèmes totalitaires qu'elles semblent critiquer."

• Le même en trois parties > ici et > . (17:53 - 18:40 - 15:39)

Franck LepageUESSPlanteMonsantoDéclaration des devoirs des politiques… - Lettre à une mère
• Urgent
On cherchons, les Fouines@Associées avec Diggles & Fargo, un métier où on n'est pas obligé de travailler (sans ruiner personne, comme ces fumiers de banquiers).
Salaire, logement, santé et transports fournis à vie.
Envoyer vos propositions ici > @ qui transmettra.
Morcis choiseaux 18
 
Leçon 17
Toujours savoir qui produit ce qu'il y a dans son assiette.

Mouton
D'après Arte, qui est une télévision sérieuse et respectable, une des grandes facultés du mouton à lunettes1, c'est qu'il n'entend rien. Contrairement aux autres moutons qui ne s'intéressent qu'au football et à la dernière coiffure de la princesse de Monaco.

1. Reportage sur Arte le 09 juillet 2011.

Vitamine C
Contrairement à l'acide L-ascorbique de type lévogyre (copieusement ignoré par la médecine orthodoxe), le FMI n'est pas assimilable par l'homme. C'est pourquoi il est préférable de débloquer des fonds pour la sauvegarde du macareux à tête plate plutôt que pour les états membres.
C'est moins dangereux pour les humains.

La guerre humanitaire de l'Otan - Michel Collon

Sarkozy, combien d'enfants as-tu tué cette nuit ? par desinformez3vous - Supprimée sur Vimeo et Daylimotion.

• « Non, il n'existe pas de « guerre propre ! » - Michel Collon nous envoie un reportage depuis la Libye. Il nous montre ce que les bombes de l'OTAN peuvent faire loin des caméras de télévision.

Vu sur Mondilalisation.ca

Les 7 erreurs

Fig.1 - 5000 tonnes de sable pour les parisiens qui n'ont pas la chance de pouvoir aller s'entasser sur les plages du littoral.
Fig. 2 - Pas une tente qui
ne traine dans la rue pour les clochards et les sans abris.

• En recopiant sa politique sociale, notre amis le maire de Paris a commis plus de 100 000 sans abris…

Saurez-vous les retrouver ? > En musique ici

• La bonne réponse est : la Réserve fédérale américaine.

Tout
— On nous prend vraiment pour des cons !
— Mais nous sommes des cons
.
 

Penseur vert

"En m'autorisant un peu de distance, je trouve que la France souffre de la prééminence d'une culture de la domination et de l'affrontement ritualisé, au détriment d'une culture de l'échange et du débat. (…) Derrière ce constat qui semble sans appel, je nourris cependant quelques raisons d'espérer. Passé en phase terminale de ses illusions Sarkoziennes, la France paraît, depuis quelques mois, regagner un peu d'esprit de débat. (…)"

• Ainsi s'exprime Daniel Cohn-Bendit, notre ami le bouillonnant député européen, dans le numéro 02228 du Nouvel Observateur (07 au 13 juillet 2011). De quoi parle-t-il en réalité ? De l'arnaque de la dette ? Du plan de sauvetage de l'euro qui va mettre encore plus de gens à la rue ? Des banquiers, ces vermines imputrescibles, responsables de l'anéantissement des peuples ? De son beau-frère qui, dans le fond, est un brave type ? D'espoir retrouvé ? De que ?…
Est-ce lui qui écrit ? Est-ce lui qui pense ? On ne savons. Quoi qu'il en soit, il a bien fait de nous le dire. L'essentiel, c'est de bavarder un peu en attendant.
Avant on ne savait déjà rien… Désormais, on n'y comprend que goutte. Quoi qu'il en soit, s'il lui reste quelques pavés, qu'il n'hésite pas… ça rendra service au monde libre et à la stabilité de l'Union.

Qu'en dit Oxymoron
En France ou ailleurs, voire même dans l'univers, il ne peut y avoir qu'affrontement, tant la différence entre les individus est abyssale. Une âme qui voit le jour en Do ne comprendra jamais une autre née pour la 1ère fois en Si, comme un esprit ne comprendra jamais ce qui fascine les âmes (voir > ). La paix sur cette planète (ancien pénitencier) ne sera jamais que transitoire. De plus la connerie humaine (française ?) est elle aussi abyssale. Après seulement 8 ans de prison, alors qu'il était condamné à 15 ans au départ, la justice vient de relâcher, pour bonne conduite, un type qui avait tué la fille de sa compagne de 27 coups de couteau. Il serait peut-être temps de remettre le supplice de la roue sur la place publique.
Ou l'écartèlement, ne chipotons pas.

Sieste
La sieste sert à s'occuper entre 2 apéros.

• Ce qu'on vous dit à la télévision, eh bien, c'est exactement le contraire.

Un rebelle somalien disait : "si tu n'as aucun gouvernement pour te défendre, il faut prendre les armes pour survivre." En réalité, c'est précisément quand un gouvernement prétend défendre les intérêts de tous qu'il faut prendre les armes. Sinon tu es cuit. Comme la démocratie. Le somalien n'a pas compris la réponse. Il est reparti attaquer un bateau de touristes pour nourrir sa famille. Il s'est fait tuer par les soldats des nations unies et on ne l'a plus revu. Fin.

 
Toujours
les
mêmes
Fab
C. Fabiani
nos libertés
N. Libertés
JeanneR
J. Rousseau
bukov
V. Bukosky
riz
A. L-Riz
chouard
E. Chouard
grignon
P. Grignon
Oxy
Oxymoron
Zeug
Zeugmaband

Franck Lepage
F. Lepage
Ce qui importe, c'est de s'occuper en attendant midi

Pour qu'on oublions jamais

CPDes millions de Français déportés chaque été dans des camps de loisirs par wagons entiers. Pour leur plein gré.
On imagine difficilement les souffrances atroces que doivent endurer ces travailleurs innocents qui ont trimé, sans répit, onze mois durant pour un salaire de misère. Dans la grisaille et le froid chevrotant. Des salariés conduits aux pires récréations après des heures passées dans les embouteillages et la promiscuité.
Sous une chaleur accablante.

Arrachés à leur quotidien, ils sont sommés de quitter les métros bondés, d'abandonner les périphériques surchargés et les rocades saturées de leurs sinistres banlieues. On les rassemblent par milliers sur les autoroutes de France. On les parquent dans des wagons à humains réquisitionnés pour l'occasion. Ils sont conduits sur le littoral surpeuplé où ils sont contraints de s'entasser, par fagots entiers, auprès de leurs congénères dans la joie et l'allégresse.

Une fois sur place, ils sont condamnés à s'amuser à heures régulières, à rire en meute des mêmes histoires de Toto, à s'enduire de graisse et à s'avachir sur le sable brûlant. À marée haute, on les oblige à se baigner tous ensemble dans une eau excédant rarement les 15°. Parfois même les 1 mSv. Le reste du temps il n'ont pas d'autres choix que d'attendre le retour des marées sur des pliants, de porter des bobs à leur nom et des sandales en plastique fluorescentes. On force même les plus vaillants d'entre eux à porter de grosses chaussettes en laine1 avec un short à bretelles et un tricot de peau à trous. Qu'il pleuve ou qu'il vente. Le soir on les ramène au camp où ils doivent suivre le résumé du tour de France avant le journal de 20h. Devant leur caravane, sur des téléviseurs portables, bruyants et mal réglés.

Leur calvaire se répète, sans relâche, un mois durant, jusqu'à ce que joie s'en suive. On ne leur offre aucun répit. Les générations successives subissent inlassablement, les unes après les autres, les mêmes traitements, les mêmes sauvageries, les mêmes abominations.
Les leçons de l'histoire n'auront servi à rien.

Pendant ce temps-là…

…pendant que les travailleurs s'en donnent à cœur joie dans les camps de loisirs forcés, une poignée de parlementaires, privés de repos, votent en catimini, des lois sécuritaires indispensables à la prospérité du monde libre. Les élus continuent de socialiser les pertes et de privatiser les profits. Les banques pof leur volent leurs derniers centimes. Le système s'écroule. l'Europe s'effondre. Le monde entre dans l'âge des ténèbres. Brahma pousse un dernier soupir…

Bref, ils sont heureux.

1. Marrons le plus souvent.

• Inutile de se presser, nous ne sommes qu'aujourd'hui après tout. De toutes façons, il est toujours beaucoup plus tard qu'on ne pensait.

Leçon 18pfruft
Achetez de l'or cru.

Important
Contrairement au calao à bosse rouge qui se nourrit essentiellement de figues, le tarsier est le plus petit primate du monde. C'est ce qui fait toute la différence. Et on ne le savait même pas.

Citations

• La démocratie et les droits de l'homme sont des produits d'exportation vers les pays qui ont du pétrole. - Je ne sais plus qui

• Si cette malveillante politique financière provenant de la République nord-américaine devait s'installer pour de bon, alors, ce gouvernement fournira sa propre monnaie sans frais. Il s'acquittera de ses dettes et sera sans aucune dette. Il aura tout l'argent nécessaire pour mener son commerce. Il deviendra prospère à un niveau sans précédent dans toute l'histoire de la civilisation. Ce gouvernement doit être détruit, ou il détruira toute monarchie sur ce globe. - Lord Goschen, porte-parole des Financiers au XIXe s., à propos de Lincoln qui refusait d'emprunter aux banques contre intérêts

• Si l'élection devait changer les choses, il y a longtemps qu'elle serait interdite. - Coluche.

La dette publique - par Louis Even

Louis Even, auteur de L'Île des naufragés, une histoire simple et populaire qui permet de comprendre la création de l'argent. Texte .

• Pourquoi parle t-on de dette publique ? Mais parce que c'est vous qui êtes en train de la payer, tas d'idiots. Le fruit du travail de la population va dans la poche de ces fumiers de banquiers qui n'ont rien produit d'autre que quelques lignes de crédits sur un ordinateur.

> Vidéos instructives et intéressantes sur la crise de 2008, mais qui vaut églament pour celle qu'on nous fait subir actuellement ( en 3 parties).

 
L'arnaque de l'impôt sur le revenu - par Étienne Chouard

Vidéo mise en ligne par lui > StormIDABLE
• Extraits de Chouard

• (…) Depuis 200 ans, l'élection permet aux riches d'acheter le pouvoir, (et donc de ne plus payer d'impôts, de mener durablement une politique de chômage, de bas salaires et de gros profits) et ils appellent ça le "gouvernement représentatif." (…)
voir >

• (…) nos gouvernements ont abandonné la création monétaire aux banques privées. Nos prétendus "représentants" se sont même interdit à eux-mêmes de créer l'argent nécessaire au financement des besoins publics ! Cela entraîne, on va le voir, une dette publique extravagante et un chômage insupportable, mais aussi une dramatique dépendance des responsables politique envers ceux qui les financent…
voir >

Les élus sont incompétents. Les experts peuvent les enfumer comme le bon fumier
Sur le qui vive…
Colchique dans la rue… Ça va bien nous arriver en vrai un jour… © pantyhoseX.com

Libéralisme
socialiser les pertes et privatiser les profits. > Vigile.net

Échelle
Dans l'affaire DSK, à en croire Robert Badinter, grand sage parmi les sages, défenseur des droits de l'homme et des honnêtes gens, il y aurait moins de dommage à tomber très bas quand on vient de moins haut. Autrement dit, un pauvre ça tombe de moins haut qu'un riche. Il est déjà pratiquement dans le caniveau. Il se fera moins mal qu'un riche qui tombe du septième étage, par exemple. C'est scientifique. Un homme serait donc plus ou moins un homme selon sa position sur l'échelle sociale. Les sans grades ne mériteraient pas les mêmes traitements que les puissants. Ça va de soi. Alors laissez-les tranquilles. Ne les montrez pas du doigt. Potentiellement, ils souffrent déjà davantage que les simples citoyens. De plus, tout le monde ne peut pas se vanter plouf d'avoir ruiné la vie de millions de gens afin qu'ils ne puissent tomber encore plus bas. Au nom de l'équilibre monétaire international et pour le bien de tous. Cet homme mérite notre compassion. Il a dû se faire très mal en tombant de si haut.
Hommage et respect.

 

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