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Charlzes T. Diggles n'est pas content
et il rodomonte et contrepète
(Le
journal de l'endormi fini) |
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Abajo |
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esta la padgé quatorssé |
Si le tabac tue, il faut l'interdire. Si l'alcool tue, il faut l'interdire. Si la route tue, il faut l'interdire. Si la crise tue… Si la guerre tue… Si le chômage tue… Si la maladie… Si la religion… Si les ondes… la science… l'ignorance… les gens… les gouvernements… l'UE… les bandits… l'ONU… l'électricité… l'Otan… Si la mort tue, il faut l'interdire… etc.…
Remplissez vous-même… |
Leçon 1
Ne jamais croire personne. À commencer par soi-même. Mais surtout les autres.
Sécurité
Vivant, le contribuable est un citron qu'on presse jusqu'à plus soif, une poire qu'on épluche jusqu'au trognon, un mouton qu'on tond jusqu'à la couenne, un pigeon qu'on plume jusqu'à la l'os. Mort, il n'est plus d'aucune utilité, il ne rapporte plus rien. C'est pourquoi il faut multiplier le contribuable et le préserver le plus longtemps possible. Jusqu'à la lie. Il y va de la sauvegarde des sciences et de l'industrie. Et de la stabilité des gouvernements.
Faille
Ce que les rentiers et les politiques semblent ignorer, c'est qu'en créant la misère, ils sont en train de provoquer le soulèvement des peuples. C'est une des failles de ce système. Les plus démunis n'ont rien à perdre.
• La réponse d'un certain DGP au sujet de la complicité des médias sur le site Nos Libertés est intéressante. > Là
DSK
Qu'il soit coupable ou innocent, qu'il s'agisse d'un coup monté ou d'une conspiration, le monde politique est vérolé. De toutes parts.
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Information
Les journalistes n'alertent plus personne. Soit ils sont subordonnés, soit ils sont innocents. Ou complètement abrutis. De trois choses l'une. Y'a pas 36 chandelles. Dans tous les cas, ils sont complices.
Confiance
— On nous prend vraiment pour des cons !
— Mais nous sommes des cons.
Leçon 2
Les terroristes ne sont pas ceux qu'on croit.
Citation
Ceux qui détiennent le pouvoir de décision nous laissent le choix entre écouter des ignorants ou des trompeurs.
Maurice Allais. Prix Nobel d'Economie. " Lettre aux Français ". Décembre 2009. |
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Leçon 3
Il y a toujours quelqu'un qui a intérêt à votre bien. |
Nuremberg
Il serait heureux que les patrons du FMI, qui – au nom de l'équilibre de l'économie mondiale – ont déclenché l'anéantissement de populations entières, finissent leurs jours en prison. Comme les grands criminels de guerre. Or, de nos jours, les crimes contre l'humanité sont approuvés par l'ensemble des institutions internationales. Et verrouillés au plus haut niveau du droit.
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Le jour viendra où chacun se trouvera face à lui-même, devra répondre de ses actes et aura des comptes à se rendre. Fatalement |
Intérêts
Quand on connaît le salaire, et surtout la part variable des banquiers – bonus et autres gratifications supplémentaires – on comprend que ces gens-là ont intérêt à créer les conditions de la crise et à fabriquer du chômage. Plus vous sombrez et plus ils se gavent à gorge déployée. Plus ils engraissent et plus vous défuntez à petits feux, sur le trottoir. Comme des vers.
N'ayant désormais plus le droit de créer la monnaie1, c'est aux banques privées, aux nababs de la finance internationale, que l'État emprunte désormais l'argent dont il a besoin pour fonctionner. Avec intérêts ! Des intérêts faramineux qui constituent la dette publique. Une dette énorme, considérable, qui ne cesse d'augmenter de jour en jour. Elle atteint aujourd'hui des sommets vertigineux. Comme elle remplit les gouffres sans fond dont on ne revient pas vivant. Nos représentants, les élus du peuple, les politiques de tous bords, le savent fort bien. Or, ils s'en lavent les mains, ce n'est ni leur argent ni leur problème. C'est vous qui payez la note.
Périssez tranquilles, braves gens, y'a rien à voir.
1. Avant les années 70, la dette n'existait pas. Elle n'existerait toujours pas, si en 1973, sous le gouvernement Pompidou, Giscard aux finances, l'état ne s'était auto-interdit d'emprunter auprès de sa Banque de France. Il a désormais obligation d'emprunter aux banques privées avec intérêts. Loi entérinée en 1992 par l'article 104 du traité de Maastricht, puis en 2007 par l'article 123 du traité de Lisbonne. Rappelons au passage que les citoyens s'étaient opposés à l'établissement de la Constitution Européenne en votant NON au référendum de 2005. Elle lui a néanmoins été imposée par voie parlementaire contre sa volonté.
Elle est pas belle la démocratie ?…
• Aujourd'hui, les intérêts de la dette s'élèvent à plus de 110 millions par jour, soit environ 40 milliards par an. Tout ce bon pognon retourne dans les caisses des prêteurs, les gentils rentiers qui ne souhaitent que la prospérité de leurs débiteurs.
• Nous ne portons pas une estime particulière aux syndicats - quels qu'ils soient, mais ce petit PDF du Front Syndical de Classe a le mérite de rappeler quelques faits essentiels sur l'origine de la dette que les gouvernements se gardent bien de révéler. Clair et instructif. |
… si les innondations… l'acide… les ravins… la montagne… le ridicule… les pierres… le travail… les pesticides…
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Leçon 4
Les salariés sont des marchandises.
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Tandis que l'ensemble des représentants politiques – avec la complicité des médias – brandissent l'épouvantail du FN, ainsi que les dérives sexuelles de leurs adversaires, les mains qui les nourrissent continuent de se rouler de gros cigares, se gondolant de concert aux balcons de leurs multinationales. Comme les hyènes sardoniques des ténèbres. |
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Presse
Les journalistes réclament plus d'indépendance et de liberté, mais pour dire quoi ? Pour parler du Codex Alimentarius (vidéo) ? Pour dénoncer les crimes d'états ? Pour révéler les politiques de destruction du FMI ? Pour combattre les pourris qui les financent ?… Il y a belle lurette qu'ils n'informent plus personne. Les journalistes.
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Drogue
Qu'on légalise ou non la drogue, ce sera toujours des voyous qui profiteront des bénéfices. Les cartels ou les politiques. Quelle engeance choisir ?
Barnum
La politique est un spectacle destiné à endormir la populace. Les comédiens sont très bien payés pour vous divertir. Pendant que les grands capitaines d'industrie, qui les nourrissent, continuent leurs petites affaires et vous mettent sur la paille pour leurs plus grands profits. |
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• En politique, il n'y a pas de héros. Ni de sauveur. Jamais ! L'homme providentiel n'existe pas. Ce ne sont que des carriéristes, des imposteurs et des pantins. À la solde du Gros Magot. Les beaux discours et les grandes idées sont faits pour endormir les électeurs.
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Encore un leurre pour détourner notre attention des vrais problèmes de sexe. |
© PantyhoseX.com
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Leçon 6
Voter est inutile.
… les ours… le feu… la tempête… les volcans… l'huile…
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Publicité
— On nous prend vraiment pour des cons !
— Mais nous sommes des cons.
Piou piou
Dites aux gens ce qu'ils veulent entendre et ils vous mangeront dans la main / dans l'urne.
• Mitterrand, un imposteur adulé. > lire l'article d'un certain Guy Sitbon, un type dont je connais à peine le nom tant je lis trop peu Marianne2. Un site d'information en ligne qui, à ma connaissance, parle trop rarement des sujets qui tuent les gens. En vrai.
Leçon 5
Prenez garde à vos rêves, ils pourraient bien se réaliser.
Publicité
— On nous prend vraiment pour des cons !
— Mais nous sommes des cons.
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Depuis la plus haute antiquité, on réprimande les petits enfants qui ne savent pas s'arrêter. Rien n'est jamais assez. Ils en demandent toujours plus. On leur dit que ce n'est pas bien. On leur apprend à se contenter du nécessaire. Pour quand ils seront grands et responsables. Pourtant, on ne trouve rien à redire à la spirale infernale du commerce et de l'industrie qui réclament sans |
cesse toujours plus de profits. Quoi qu'il en coûte de l'avenir et de l'éducation des petits enfants. |
(Photos piquées sur internet) |
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