Mude Charlzes T. Diggles n'est pas content
et il réitère sa mère

(Le journal du con farci)
poule
en bas d'un clic   This is ze péidge ten

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Morcis choiseaux 10
 

Livre
Lisez Le fœtus récalcitrant de Gustave-Henri Jossot, caricaturiste du début du siècle (1866-1951). Il disait déjà à l'époque tout le bien qu'il pensait de
notre monde merveilleux. Ça vient de sortir (janvier 2011).
Éditions Finitude

  Fœetus récalcitrant
 
titre
texte… (à vous de remplir)
 

Programme

On lit régulièrement dans la presse populaire que TF1, avec je ne sais quelle autre chaîne de merde, se trouve très souvent dans le rouge. Diantre ! La recette publicitaire serait en déficit. L'annonceur déserte. La coque se fissure. Autrement dit, l'audience s'effrite et les dividendes s'envolent. En réalité, ces grands navires de la pensée humaine, fleurons de l'imagination française, vont perdre quelques deniers et, si ça continue, ils ne seront plus en mesure de fournir aux échantillons représentatifs de la pensée humaine leurs émissions préférées. Une bagatelle qui représente, au bas mot, l'équivalent du salaire annuel de plusieurs ménagères de plus de 50 ans sur un certain nombre d'années, mais qui, à les en croire, pourrait leur être fatal. Qu'allons nous donc devenir ?
Braves gens, rallumez vos téléviseurs avant qu'il ne soit trop tard. Le bateau prend l'eau. Le monde s'écroule. Sauvons la Marine. Les annonceurs ont besoin de se refaire une santé.
Reprendez-vous !

Différence
Les hommes aiment les images. Les femmes aiment les histoires. Les hommes se retournent sur les jambes des femmes, les femmes courent après le prince charmant. Faut pas confondre.

Météo
Demain il pleuvra moins à l'ombre.

Dette
— On nous prend vraiment pour des cons !
— Mais nous sommes des cons.

• La dette est souveraine, inclinons-nous.

Économie
— On nous prend vraiment pour des cons !
— Mais nous sommes des cons.

Taxes
Sous la pression de l’Europe1, la France étrangle le contribuable avec des taxes de plus en plus nombreuses, de plus en plus importantes. Certaines portent sur des produits de première nécessité dont les prix ne cessent d’augmenter de jour en jour. Ses représentants, les politiques de tous les partis, rassasiés par leurs maîtres, s’en mettent plein les poches sur le dos de leurs électeurs. Ces derniers se traîneront bientôt dans le caniveau comme des chiens des rues. Ils n’auront plus que les autolib’ pour pleurer/se loger. Jusqu’à plus soif. Aujourd’hui ce sont les uns qui la leur mettent bien profond, demain ce sera les autres. Lesquels choisir ? Quel bulletin mettre dans l’urne ? Qui porter aux nues ?
On voul'demande…

1. Nous insistons, mais à part l’Europe des oligarques (et des francs-maçons), l’Europe des nations, pour les gens, n’égziste pas.

 

Question
À qui profitent les taxes ? Questions à 26 550 euros par tête.

Confiance
Il suffit à nos amis les élus de la République de démentir pour se trouver aussitôt blanchis de toutes exactions et autres turpitudes.
Interview :
— … Monsieur le Ministre, vous avez encore, comme tous vos prédécesseurs, piqué dans la caisse. Ça ne fait plus aucun doute. Nous avons toutes les preuves.
— Impossible ! Je suis un homme honnête. J’ai toujours été homme un honnête, vous le savez bien. Tous mes amis vous le dirons.
— Ah oui, c’est vrai ! J’avais oublié.
— Autre chose ?
— Nous vous remercions Monsieur le Ministre…
Et on n’en parle plus.
Jamais.

Démocratie
Avec le soutien du gouvernement Français, Laurent Gbagbo s’est auto proclamé Président de la Belgique Unifiée et de la Tunisie Libre. Son ami Bébé Duvallier est nommé Ministre des droits de l’homme et des Nations Mondiales avec l’appui de la communauté internationale. Les cérémonies d’investiture auront lieu Place Beauveau en présence de tous les Ministres de l’intérieur réunis depuis treize ans. Vivants ou morts.

Mille six-cent-soixante-quatorze milliards neuf-cent-vingt-sept millions sept-cent-quarante-deux-mille-huit-cent-dix euros

Justiceptibilité (10/02/2011)

Dans l'affaire Tony Meilhon, nous l'avons tous bien compris, la victime n'est pas Laëtitia, cette jeune fille de 18 ans sauvagement découpée en morceaux par un monstre sanguinaire, multirécidiviste, que la justice a remis en liberté en parfaite connaissance de cause, mais la corporation des magistrats injustement montrée du doigt par la République et une grande partie de l'opinion.
Recueillons-nous, mes frères
décapitables1, pour tous ces pauvres administrateurs judiciaires qui souffrent et à qui personne, ici-bas, ne donne les moyens de comprendre l’infamie et de poser un regard clairvoyant sur les choses de ce monde.
Amen.

1. On le disons en plus petit pour éviter de choquer les âmes sensibles.
• NDF. (Note du Fouinemaster) : Qu'on ne leur donne pas la possibilité de faire leur travail dans les meilleures conditions est une autre affaire.

 
Où est les problème ?

Dette de nœud
Jean-Jacques Bourdin reçoit François Baroin, ministre du Budget. Il lui a réservé une surprise. Lors de l'interview, le montant de la dette publique était affiché à l'écran pour tous les téléspéctateurs de BFMTV. En une demi-heure, la dette a augmenté de 7 millions d'euros.

Prendez-en de la graine

À propos de la dette, le bon Barouin nous laisse entendre, en gros : Nous sommes endettés jusqu’au cou1, c’est vrai, nous ne pouvons le nier, mais comme les français ont des économies, en cas de pépin, c’est eux qui paieront nos conneries.

Pourquoi ce voyou, et tous ses amis du gouvernement, au-delà de la confiance que continuent de lui accorder les citoyens, reste-t-il aussi serein ? Personnellement, il n’aura pas à sortir un centime de sa poche. En cas de défaut, c’est avec l’épargne des français (600 milliards d’euros) qu’il réglera la note. Une garantie suffisante pour garder le sourire. En attendant, toujours avec ses amis du gouvernement, sous la pression de l’UE, il tranche dans les retraites, diminue les prestations sociales, compresse les masses salariales, allonge la durée du temps de travail, réduit l’emploi des fonctionnaires, augmente les taxes et les impôts des classes laborieuses… Ce ne sont pas les moyens qui lui manque pour rassurer les marchés. Bref, il prend dans la poche des plus pauvres pour le donner aux plus riches : les banquiers. Ceux-là même qui, avec l’accord des politiques, nous ont plongé dans cette situation.
Pourquoi donc s’en faire ? Il n’a aucune raison de ne pas rester serein, le bon Barouin.

1. Il se garde bien de dire pourquoi et de parler de la loi Pompidou/Giscard, dite loi Rothschild, du 3 janvier 1973.
 

Prudence
Méfiez-vous ! Cet homme est très gentil (voir ci-dessus). Il n'agit que pour votre bien. Ne l'oubliez pas.

Presse
De deux choses l’une : ou les journalistes sont aveugles (et abrutis), ou bien ils sont subordonnés. Soit ils ne voient rien des turpitudes du monde politique et de ses ignominies, soit ils sont payés pour mentir et faire diversion afin d’endormir l’opinion. Dans tous les cas ils sont coupables. Ils feraient mieux de changer de métier. Peut-être partagent-ils aussi les valeurs du Grand Syndic Incorporated of the World ? Ceux-là, ne le diront pas. Ils sont là pour défendre des intérêts de ceux qui les nourrissent. Il y a également parmi eux, les innocents, ceux qui préfèrent ne pas croire ce qu’ils savent. C’est trop énorme ! Crier à la théorie du complot est plus commode en vérité et bien plus confortable. Ainsi préservent-ils leur place dans les salons où l’on cause et leur crédibilité auprès de leurs chers confrères. Ce monde continue de tourner rond. À leur place, je me tairais certainement aussi. C’est, en effet, plus prudent de nos jours. Je ne tiens pas à perdre mon emploi et à passer pour un jarnibleu.

In the air
C'est du populisme cher ami - Ou alors c'est des abrutis

Métier
Quand cessera-ton d'interroger acteurs et comédiens sur les films dans lesquels ils tournent ? Demande-t-on au maçon ce qu'il pense de la maison qu'il construit ? Au charcutier, son avis sur la porcification des masses laborieuses ? Non ! Qu'ils nous parlent plutôt de leur métier, d'attentes interminables, de ciment à prise rapide ou de chair à saucisses. C'est plus vraisemblable et nettement plus comestible.

Europe
L’Europe est l’amie tous. Elle sait très bien ce qui est bon pour la communauté. Sans distinction. Envers et contre tous. C’est pourquoi, elle prend toujours les décisions qui conviennent le mieux à l’intérêt général. Selon l’exemple donné par François Asselineau1, l’Europe veut faire installer l’ascenseur dans l’immeuble pour le plus grand plaisir des locataires du dernier étage, au mépris de ceux du rez-de-chaussée qui n’en n’on cure. Ils n’auront qu’à pousser des cris de révolte et de désolation, l’Europe s’en fout comme d’une guigne, elle n’habite pas dans l’immeuble. Et puis c’est pas elle qui paye.

1. Voir les vidéos de sa conférence ici-même.

Citation
• Qui contrôle l'alimentation, contrôle la population. Qui contrôle l'énergie, contrôle la nation. Qui contrôle la monnaie, contrôle le monde. - Kissinger

• Lire ici le testament de Kissinger

Agiter le peuple avant de s'en servir. - Talleyrand

 

Savons-le

Dans ce monde (du dernier âge), aucun parti, quel qu’il soit, ne lutte pour le bien de la communauté et l’équilibre des peuples. L’obscurantisme et l’ignorance qui s’abattent sur cet âge – de ténèbres – n’est pas leur problème. C’est tout juste, quand ils n’en sont pas les instigateurs, s’ils perçoivent ce qui se passe réellement autour d’eux. À se demander s’ils sont conscients du monde dans lequel ils vivent et pour lequel ils prétendent se sacrifier. Pour ma part, il y a belle lurette que je ne me le demande plus. Les uns comme les autres, au lieu de s’attaquer à la perversion et à l’infamie, préfèrent s’opposer entre eux, s’en prendre à leur adversaire en politique, qui pourrait faire de l’ombre à leur carrière. Leur seul but est de s’accaparer le pouvoir et de s’y maintenir le plus longtemps possible. Au nom de leurs idées qui sont bien meilleures, bien plus justes et les seules capables de redresser un pays… qui fera manger les pissenlits par la racine au bon peuple qui aura cru à leurs belles paroles.
En réalité, ils s’étripent sur le devant de la scène, devant les caméras, mais après le spectacle, sitôt lesGrouiiik projecteurs éteints, ils s’en vont dîner ensemble, dans les meilleurs restaurants. Ils se retrouvent au Siècle1 où ils devisent, avec leurs pairs, de l’avenir de la Nation (de leur avenir commun) devant un bon verre, trinquant à la santé des peuples qui n’y verront jamais que du feu. Et très peu de miettes.
Retournons nous vautrer dans le canapé avec un bon bourbon des familles.

1. Le club le Siècle, dîner placé sous haute surveillance policière, qui réunit le dernier mercredi de chaque mois, à l'Automobile Club de France, le gratin de la classe dirigeante : politiques de droite comme de gauche, capitaines d'industrie et de la haute finance, patrons de presse et journalistes de télévision. Tous ce beau monde, composé des gens les plus influents et les plus puissants de la société, refont le monde en secret contre l’intérêt général au profit d’une petite élite déjà pleine aux as. Leur objectif : le Nouvel Ordre Mondial à tous les étages.

Ce monde est destiné à s'éteindre. Personne n'y changera rien
By Jove
Encore la même qu'on ne verra pas de sitôt dans les rues de par chez nous. © PantyhoseX.com

C'est dans l'air
Amalgame, stigmatisation et populisme. 3 vocables dans l’air du temps qui permettent de couper court à toute discussion, de défendre et d’excuser tout et n’importe quoi.

Rire
Avant, il y avait l'acteur Buster Keaton qui ne riait jamais. Aujourd'hui, il y a la comédienne Monica Belucci qui ne ride jamais. Elle ne rit jamais non plus, elle n'a pas le droit. Et il y a toujours Wiaz, le dessinateur qui ne fait rire jamais. Peut-être a-t-il perdu un œil en croquant le monde ?

L'œil
Regardez plutôt la dame d'à côté. Même s'il y a peu de chances qu'on la rencontre un jour de par chez nous, ça peut mettre un peu de soyeux dans ce monde de buses aigres et cotonneuses.

Islay
Charlzes T. Diggles ne s'ennuie jamais. Il boit. Parfois même plus que les tonneaux et les barriques ne pourront jamais contenir.
Jean-Jacque Pleutre

Écologie
— On nous prend vraiment pour des cons !
— Mais nous sommes des cons.

 

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