Charlzes T. Diggles n'est pas content
et il s'obstine
(Le journal du con farci)
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Morcis choiseaux 3

Journal télévisé
Désormais le présentateur du journal télévisé est plusieurs. C'est la nouvelle tendance. Le plus souvent il y en a deux au lieu d'un alors qu'aucun suffirait largement. On se demande d'ailleurs pourquoi ne viendraient-ils pas accompagnés de leur famille pour annoncer les mensonges du jour. Leurs conjoints feraient un peu de vaisselle, en arrière plan, pendant que leurs enfants termineraient tranquillement leurs devoirs avant d'aller se coucher. Juste avant la météo. L'information y gagnerait en humanité. La ménagère serait rassurée. Le monde tournerait plus rond.
voir "C'est pas tous les jours demain"

Twitter
Ça sert à quoi ce con ?

Comiques vivants
Enlevez les mimiques, les cris, les grimaces, les pitreries, la performance, etc.… Que reste t-il aux comiques actuels ? Rien ! Pas une ligne. Pas une phrase. Pas une idée. Que des clowns plus ou moins rigolos. Plutôt moins que clown. Des amuseurs militants toujours prêts à s'enflammer pour une cause ou pour une autre. Exemple comique. Cette simple réplique : « Toto est tombé par terre et il s'est fait très mal », serait-elle aussi drôle sans le son ni la chute du comique qui se relève avec la mimique du type qui a très mal ? Ce sont toujours les choses les mieux dites qui sont les plus drôles. Les temps sont moroses. Riez les gens ! Il ne reste plus que quelques jeux de mots, un peu de quolibets, deux ou trois astuces et des rodomontades à trois sous. On n'en rien d'autres.
Scientologie (encore)

Au fond, comme un grand nombre de congrégations, de sectes diverses et de cultes multiples, la scientologie est moins dangereuse que les gouvernements, les banquiers, les laboratoires pharmaceutiques, les organisations mondiales, les compagnies d'assurances (…) qui escroquent chaque jour des millions d'individus dans le monde avec la bénédiction des pouvoirs en place. Comme les marchands de soupe et quantité de vénérables institutions de la République, la scientologie ne fait rien d'autre que de répondre à la détresse des plus faibles et à la crédulité des imbéciles, tirant au passage un maximum de profits. Pourquoi les tribunaux ne condamnent-ils pas aussi les banquiers à rembourser les clients qu'ils ont ruinés – profitant de leur faiblesse, les politiques à rendre des comptes aux imbéciles qui les ont élus, les assureurs à assurer, les institutions et les organisations de tous ordres à servir les citoyens avant leurs propres intérêts ?
Amis du monde libre, on vous laissons répondre…

 

Euthanasie
Pourquoi cette société soit disant moderne et civilisée n'aide-t-elle pas les gens à bien mourir ?

Esspression de merde
« Au jour d'aujourd'hui ». Pourquoi pas depuis dorénavant ? Dès désormais ? Au moment de maintenant ? Ou à l'avenir de demain ou de plus tard ?

Si l'humanité était capable de se passer de religion, elle ferait un grand pas en avant…

18

Maintenant quand vous appelez le Samu, c'est les pompiers qui décrochent. C'est à cause que les gens appelaient trop souvent le samu pour un rien, alors maintenant on tombe directement sur les pompiers. Or, les pompiers, contrairement à ce qu'on croyait, c'est des types dangereux. Ils ne viennent plus pour sauver les chats coincés dans les arbres, ou pour détruire les nids de frelons asiatiques cachés dans les greniers, non ! Ils se déplacent seulement pour tuer les gens maintenant. Comme ça, sans le savoir, croyant bien faire. Pour notre sécurité. Ils font exactement comme on leur a dit, exactement comme c'est marqué dans le manuel du parfait pompier. Avec rigueur et application. Ils peuvent pas se tromper les pompiers.


Comment je le sais ?…

Une nuit, on a retrouvé mon père par terre dans sa chambre, en train de suffoquer, à 5 heures du matin. On a immédiatement appelé le samu, c'est les pompiers qui sont venus à la place. Ils ont alors aussitôt appliqué qu'est-ce qui était écrit dans le manuel. De A à F (après ils savent pas). Ils ont commencé par poser les questions d'usage, les unes après les autres sans en omettre aucune, en parlant très fort comme s'ils s'adressaient à un enfant sourd, ou à un débile mental. Pour être bien sûr, ils ont pris des notes fondamentales sur un carnet à souches avant d'appeler le samu. Exactement comme c'est marqué dans le manuel du parfait pompier. Or, comme mon père se trouvait dans l'incapacité de répondre, nous devions le faire à sa place, ce qui déplaisait fortement aux pompiers qui ne comprenaient pas pourquoi on se permettait d'intervenir alors qu'on était même pas la victime. Ils lui ont même demandé s'il habitait chez lui à mon père qui suffoquait toujours par terre sur la moquette depuis trois quart d'heure, incapable d'exprimer sa douleur et sa consternation. C'est vrai, rien ne leur permettait de savoir s'il n'était pas venu ici exprès rien que parce qu'il n'avait pas trouvé chez lui d'endroits plus confortables où suffoquer. J'ai dû m'énerver très fort pour qu'ils arrêtent de lui poser leurs questions à la con et qu'ils tentent plutôt de le soulager et appellent enfin le samu avant qu'il ne soit trop tard. Ils n'ont pas apprécié. Les pompiers n'aiment qu'on les interrompent quand ils tuent les gens. Ils savent très bien qu'est-ce qu'ils ont à faire. C'est leur métier. C'est marqué là. Circulez, y'a rien à voir ! Et le plus grand, le plus costaud, le plus con d'entre eux, celui qui connaissait le manuel par cœur, soutenu par son chef, nous a fait sortir de la chambre jusqu'à l'arrivée du samu.
Il est arrivé à 6 heures. Mon père a enfin pu être soulagé. Le médecin l'a endormi avant de l'intuber. Faute de place, ils n'ont pu le conduire à l'hôpital que deux heures plus tard. Mon père a attendu jusqu'à 13 heures dans le couloir des urgences qu'une place se libère en réanimation. Il est mort trois semaines plus tard sans jamais plus se réveiller.
Mais au fond, je me dis qu'ils z-y sont peut-être pour rien les pompiers. D'habitude on s'en sert essentiellement pour éteindre des feux. On ne leur demande pas de faire dans la finesse et la psychologie. C'est pas écrit dans le manuel. S'ils étaient moins cons, ils ne seraient peut-être pas pompiers.
Le samu c'est aussi le 18 maintenant.

 

Argent (Vidéo vue sur Bankster TV)

« La dette des gouvernements, des entreprises et des ménages a atteint des proportions astronomiques et enfle de plus en plus démesurément de jour en jour. D'où vient tout cet argent ? Comment peut-il y avoir tant d'argent à prêter ? La réponse est... qu'il n'y en a pas.
De nos jours, l'argent s'est fait dette. S'il n'y avait pas de dette, il n'y aurait pas d'argent. Si tout ceci vous laisse perplexe, rassurez-vous, vous n'etes pas les seuls.
Ce long métrage d'animation, dynamique et divertissant, de l'artiste et vidéographe Paul Grignon, explique les effets magiques mais pervers du système actuel d'argent-dette dans des termes accessibles à tous.
Vimeo présente le chef d'oeuvre de Paul Grignon pour la première fois en version francaise. »

Texte ci-dessus lu sur Vimeo

From Bankster sur Vimeo
… or, nous sommes dans l'âge de fer et nous préparons à entrer dans celui des ténèbres

Politicus mordicus moncus
Si, comme John Howard, Premier Ministre Australien, les politiques européens avaient le courage de dire aux musulmans qui souhaitent vivre selon la loi de la charia islamique qu'ils peuvent rejoindre les terres saoudiennes ou afghanes où leur intégration ne posera de problèmes à personne (on ne leur laissera d'ailleurs pas le choix), les biens pensants s'offusqueraient, les intellos s'opposeraient, les médias débattraient, les socialos s'élèveraient, les associations attaqueraient. Les tribunaux trancheraient. Bref, on n'en sortirait pas. On continuera donc à se faire chier avec les minorités qui veulent imposer au plus grand nombre leur volonté comme seule vérité possible et acceptable.
Ne nous leurrons pas citoyens ! Si les politiques avaient des couilles au cul (pardonnez-moi mesdames), ils feraient certainement un autre métier.

Quelques extraits de la déclaration de John Howard

Embouteillages
Cette année, non seulement les français ne sont pas partis, mais en plus ils reviennent.
C'est bouché partout. Tout le temps.
 
 
Chirurgiens

Des chirurgiens, les médecins les mieux payés de la corporation, n'ont pas hésité à se mettre en grève pour protester contre les hôpitaux qui leur réclamaient une redevance basée sur ce qu'ils touchent réellement lors de leurs consultations privées à l'hôpital public (dépassement d'honoraires compris - voir là), et non plus sur les sommes forfaitaires et dérisoires qu'ils versent actuellement. Encore une fois, le gouvernement a baissé sa culotte et leur donna raison. Il était moins une. Un peu plus et on les empêchait de remplacer leur nouveau 4x4 par le même en mieux et en plus gros. Ils peuvent continuer à utiliser le matériel de l'hôpital aux frais des assurés (qui viennent en bus) à qui ils réclament des dépassements d'honoraires sans que ça leur pose aucun problèmes de déontologie.
La ministre de la santé est un cachalot avec des sabots de la même couleur que sa culotte.

comiques morts

De son vivant Coluche avait fini par devenir persona non grata. On ne l'invitait plus nulle part tant on le trouvait grossier et vulgaire. Il conspuait les médias. Il crachait dans la soupe. Il choquait la ménagère. On ne le trouvait même plus drôle. Maintenant qu'il est mort, il manque à tout le monde. Y'en a plus des comme lui. Le vide est immense. Alors, les mêmes qui l'avaient évincé, ceux-là mêmes qui se faisaient piétiner par le malpropre dans leurs émissions de variétés se bousculent aujourd'hui pour rendre hommage au grand artiste. Périodiquement, chacun y va de sa révérence et de sa « spéciale comique du siècle ». Comme il était drôle celui qui nous traitait de crétins opaques et d'abrutis congelés à longueur d'antenne ! Comme il nous manque celui qui ne daignait même pas venir dans nos émissions de merde pour attardés congénitaux. Mais quel talent ! Au fond c'était un chic type. Il disait du mal des puissants et donnait à manger aux pauvres. Un grand homme quoi. Comme Desproges… Où qu'y sont les Desproges d'aujourd'hui ? Y'en a plus des comme lui non plus, se lamente-t-on sur la place de Paris. Qui va nous mettre le nez dans notre caca maintenant ? Mais s'il s'en trouvait un qui vienne nous dire nos quatres vérités, un véritable humoriste qui ne se contorsionnerait pas comme un ver de terre en poussant des cris d'oiseaux, on le musellerait aussitôt. Il ne percerait même pas. Personne ne lui donnerait à manger. Aucune chance. On le laisserait croupir dans ses idées. Et pourtant son absence pèse lourdement parait-il. Allez comprendre…
Un hommage, vite !

 

Drogue
L'alcool et le tabac sont en vente libre. Pourquoi pas le cannabis, le haschich et autres drogues en tout genre ? L'état prélève des taxes considérables sur le tabac dont il ne saurait se priver et fait gommer les images des cigarettes des fumeurs dans les magazines et sur les affiches, et les fait flouter à la télévision. Il fait inscrire sur les paquets de cigarettes des phrases choc de mise en garde contre les méfaits du tabac en même temps qu'il autorise l'adjonction de produits destinés à renforcer la dépendance à la nicotine dans la composition des cigarettes. La santé du contribuable est sa principale préoccupation. Moins il meurt et plus il paye.

 

Téléphone

Je ne téléphone jamais. Je n'aime pas le téléphone. Je n'ai rien à dire au téléphone. Je n'aime pas qu'on m'appelle non plus. Le téléphone c'est bon pour les bavards et les craintifs. C'est fait pour l'homme de son temps. Pas pour les oisifs et les dilettantes. C'est pourtant une belle invention le téléphone. Ça peut même être très utile parfois. On ne sait jamais. Des fois que. Or, on n'a pas nécessairement besoin d'un forfait de plusieurs heures pour dire qu'on risque d'être légèrement retardé, ou qu'on vient de tomber dans un ravin et qu'on en aura certainement pour un peu plus longtemps. Une carte rechargeable suffirait largement. Mais aujourd'hui c'est impossible. Les cartes téléphoniques qui ne s'usent que si l'on s'en sert, ça n'existe plus. Au bout d'un mois, si vous n'avez pas téléphoné pour dire l'essentiel, c'est trop tard : votre carte n'est plus valable. Vous mourrez au fond du ravin. Vous avez perdu vos unités. Vos héritiers restent injoignables. À l'époque des cabines téléphoniques, les cartes duraient le temps de les vider. On pouvait tomber dans les ravins sans se demander si on était déjà en fin de mois ou si on avait dépassé la date de péremption. On n'était pas obligé d'en racheter une autre avant que l'ancienne ne soit complètement terminée. On était libre, on pouvait mourir tranquille. Il faut dire que les cabines téléphoniques c'est nettement moins pratique que les portables. Et beaucoup plus encombrant. Surtout dans les ravins. La cabine téléphonique ne tient pas dans la poche et, le plus souvent, quand elle n'est pas saccagée par une bande de connards désœuvrés, elle est en panne. Et puis il y en a de moins en moins. Il faut le reconnaître, le portable c'est bien plus pratique. Mais en ce qui me concerne, je me contenterais de quelques unités. Au cas que. Pas plus. C'est pourquoi je n'ai toujours pas de portable et n'en aurai sans doute jamais. De quel droit les opérateurs nous obligeraient-ils à acheter des cartes limitées dans le temps qu'on n'est même pas sûr d'utiliser dans les délais ? On est contraint de renouveler sa carte quand elle n'a pas encore servi. Comme si on devait racheter le vin avant de l'avoir bu. C'est du racket. Ce n'est pas le prix qui me retient, c'est l'obligation. Les gens comme moi ne sont pas rentables.
Aussi, si un jour je meurs de vieillesse au fond d'un ravin, ce sera de la faute des opérateurs qui sont des extorqueurs et des malfaisants.

NB. En plus, pas un n'est prêt à jouer la concurrence. C'est au premier qui piétinera sous la botte le prochain arrivant. S'ils ne l'ont pas déjà liquidé avant même qu'il ne se déclare. Si on leur faisait un procès tout de suite pour vente forcée… ou si on leur vidait la cervelle avec une épingle… si on les lançait contre un mur ou si on les enfermait dans des malles étanches…

 

Obscénité
Monica Bellucci, la femme qui ne sourit jamais, a vendu 4 heures de son temps pour 190 000 euros – l'équivalent de 12 années de smic – pour une soirée mondaine. Sans que ça ne lui pose aucun problème. Peu importe la raison. Que la prestation soit commanditée par d'éminents pourris, des ordures de la pire espèces ou destinée à servir une grande cause, la chose a heurté dans les foyers. La ménagère et le salarié ont crié à la démesure, à l'outrance et à l'obscénité. On n'avait rarement mis un prix aussi élevé dans la location d'un vase italien. Mais après tout, chacun ses priorités. Y'en a bien qui tueraient leur mère pour un bourriche d'huîtres - à plus de 15 euros la douzaine. Move on picture below.

Toile cirée
Horaire
Qu'on arrête de changer l'heure ! Été comme hiver. Non seulement ça ne permet aucune économie. Ce qu'on gagne d'un côté on le perd de l'autre et en plus ça fait chier mon chat.
Monica Bellucci

Filiation
Le fils de Johnny Hallyday fait de la musique comme le fils de Jacques Dutronc et le fils d'Alain Delon qui fait du cinéma comme la fille de Jane Birkin. Le fils de mon charcutier fait aussi de la terrine et du saucisson comme Martin Bouygues qui a repris les affaires de son père. Il y en a plein d'autres qui font tout pareil comme leurs parents. Ont-ils le choix ? Ils ne peuvent faire autrement. Ils n'ont pas d'autres exemples. Pourquoi le fils du Président de la République ne ferait-il pas de politique et ne pourrait-il bénéficier des relations de son père dans le métier pour accéder au plus haut niveau ? Comme le fils du plombier ou le roi du Gabon.
Qu'il soient doués, intègres ou incompétents ne change rien à l'affaire. C'est dans l'ordre des choses.
Même si les grands de ce monde n'avaient pas d'enfants du tout, ces pauvres bougres feraient quand même comme leurs parents.

Écologie

Qu'allons-nous devenir sans l'ibis nippon, le crapaud de Holdrige, l'hippopotame nain, le rhinocéros blanc, le putois à pieds noir, la buse des steppes ? Le pourceau des limbes ? Que sais-je encore ? Qui donc pourrait nous manquer cruellement ? À part les huîtres spéciales n°2 ? La liste est considérable. Elle est aussi longue que la terre est surpeuplée. Elle fait le tour du monde. Elle n'oublie personne ni aucun pays. C'est irrémédiable. Nous n'y pouvons rien. Ici-bas, des espèces vivantes sont appelées à naître, d’autres à disparaître. C’est un phénomène naturel. De même, la destruction de la nature par l’homme, qu’elle soit volontaire ou non, est également un phénomène naturel. C'est dans l'ordre des choses. On peut s’y opposer pour des raisons morales ou idéologiques, politiques ou religieuses, mais le phénomène reste inéluctable. Le fait de tenter de le retarder n’y changera rien. C’est une illusion. Les humains saccagent tout. Partout. Ce monde est destiné à disparaître. En attendant, conduisons-nous proprement, ôtons les doigts de notre nez et laissons nos voisins tranquille. Et les animaux en paix.
Mais lâchez-nous la grappe avec la planète !

Les choses sont simples. Ce sont les humains qui compliquent tout.

 

Résolution
Si les politiques de tous bords voulaient bien se donner la main…
Et foutre le camp !
On ne s'en porterait pas plus mal.

Météo
Il faudrait qu'il arrête de pleuvoir sur ma tête.
 

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