Sagacité

À peu près tout dans ce monde, à part peut-être les huîtres spéciales n° 2 (voire les n° 3) et les grands Islay tempétueux au goût de désespoir et de perdition (47° minimum), énerve Charlzes T. Diggles. Mais peut-être plus encore, ces derniers temps, le courage des politiques, la sagacité des intellectuels de tous bords et le dévouement des associations de défense face à la montée de l'islam en République laïque et obligatoire. Tant de bon sens et de clairvoyance confondent l'esprit. C'est pourquoi une grande partie de cette page lui est consacrée.
On va encore dire que c'est toujours les musulmans qui trinquent, mais jusqu'à présent, à part quelques illuminés qui commettent des crimes abominables au nom de Dieu et autres bolchéviques attardés d'obédiences diverses qui soumettent leurs semblables comme au moyen-âge, aucune autre religion n'a pour l'heure, exprimé d'exigences particulières ni réclamé de droits spécifiques au nom de la liberté de culte. Seul l'islam cherche à tirer avantage des libertés offertes par la démocratie pour imposer ses propres lois. Et si nous ne sommes pas d'accord avec leurs revendications, nous devenons aussitôt leur ennemi et leur cible. Nous tombons sous le coup des représailles économiques et la menace du djihad. Telle est leur credo, leur grandeur d'âme, leur ouverture d'esprit et tout le crédit qu'ils portent aux libertés et aux droits de l'homme qu'ils exigent à corps et à cris.
Accueillons-les à bras ouverts mes frères et écrasons-nous poliment. Nous sommes une nation de partage et de tolérance, ne l'oublions pas.

Lien intéressant et instructif

Amalgame

Mais non, les musulmans ne sont pas tous comme ça ! Il ne faut pas faire l'amalgame. Cessons de les stigmatiser. Ce ne sont pas tous des intégristes et des terroristes qui laissent traîner des bombes à tous les coins de rues. Il y a les plus modérés qui n'asservissent que leurs femmes et qui n'égorgent que les moutons. Ils ne cherchent pas tous à plier la République à leur image et à fouler aux pieds les droits de l'homme qu'ils méprisent autant que le bon jambon. On se rappellera la période terrible de l'inquisition où les impies étaient brûlés vifs sur la place publique pour leur apprendre à vivre en même temps que les voies du Seigneur. Pour le salut de leurs âmes. Mais en ces temps reculés et obscurs, l'église dominait le monde et la République n'était pas encore l'ombre d'une chimère. Aujourd'hui, il n'existe pas à ma connaissance de République chrétienne fondée sur les principes de l'église et la parole des évangiles. Et si les républiques actuelles asservissent les citoyens ce n'est plus au nom de Dieu, mais de celui de la rentabilité et du pouvoir politique. C'est la loi du marché qui prédomine. Les assassins sont les financiers, et les fanatiques les élus du peuple. Les abbés restent dans les monastères et les moines reclus au fond de leur cloître. Ils ne cherchent pas à nous imposer leurs citrouilles ou leurs fromages. Les religieuses sont au couvent où au chocolat. Au café aussi parfois, mais moins. Elles ne vont pas chercher leurs enfants à l'école et ne travaillent pas dans l'administration ni dans les entreprises. De par chez nous, entrer en religion c'est entrer dans les ordres. On vit retiré du monde et on ne fait de tort à personne.
Mais réclamer la séparation de l'islam et de la république ce serait faire preuve d'intolérance et de xénophobie.
Gardons-nous en mes frères. Il pourrait nous en cuire.

Amen Abdoula Akbar