Knid-Abéye
 
COMMENT ET QUAND EST-CE QU'ON DOIT
DIRE
 
Knid-Abèye
Djof ! Seïtch-œz
Œupeïtch EUH !
Ikaï Yé whô-guéïscht
Kondaveïze et Shimé
A yeudèbe
 
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arf
Shréwéguéti…
in fine

Voici, pour commencer, un mot simple et de circonstance.

En effet, imaginons que nous sommes déjà à peu près tous en décembre. L’hiver arrive sans crier gare, il fait de plus en plus froid et un vilain rhume vous guette sournoisement. Pourtant, vous avez pris toutes les précautions édictées par circonstances à la mode, mais trop tard : KNID-ABÉYE !… vous venez d’éternuer sur votre femme.

Quand je vous disais que c’était simple et de circonstance : seulement deux phonèmes, trois syllabes et un rhume
(click dessous) :

On commence donc par ratatiner le museau en retroussant exagérément les babines, comme si les odeurs de cuisine commençaient singulièrement à vous répugner les conduits. Puis dans la foulée, après s’être copieusement ramoné les sinus, on se débarrasse alors du mot Knid. Le son doit sortir du nez. Le son seulement ou je ne réponds de rien. On enchaîne aussitôt avec Abèye, comme une guèpe, en se repaissant d’aise : Knid !

Ce n’est pas plus compliqué que ça. Vous verrez, avec de la purée trop chaude dans le creux de la lèvre inférieure, ça sortira tout seul et tout naturellement.

Bon rhume, bon appêtit et joyeux décembre néanmoins.

< Lipoteu
oude
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